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    ãõÓÇåãÉ ãä ØÑÝ ÇáÞäÇÕ ÇáÃÍÏ ÝÈÑÇíÑ 08, 2009 11:11 am

    Biographie de l'auteur





    Victor Hugo est né à Besançon le 26 février 1802. Fils d'un général de Napoléon, il suivit d'abord son père dans le hasard des expéditions et des campagnes, en Italie, en Espagne, où il fut page du roi Joseph et élève au séminaire des nobles de Madrid. Vers l'âge de onze ans, il vint s'établir avec sa mère, séparée à cette époque du général, à Paris, dans le quartier, presque désert alors, du Val-de-Grâce. C'est là qu'il grandit dans une liberté d'esprit et de lectures absolue, sous les yeux d'une mère extrêmement indulgente et assez insoucieuse à l'endroit de l'éducation. Il s'éleva tout seul, lut beaucoup, au hasard, s'éprit, dès quinze ans, à la fois de vers et de mathématiques, se préparant à l'École polytechnique et concourant aux Jeux floraux .

    Couronné deux fois par cette société littéraire, nommé par elle maître ès jeux floraux en1820, distingué par l'Académie française en 1817, à l'âge de quinze ans, pour une pièce sur les Avantages de l'étude, s'essayant à une tragédie (Irtamène dont on trouve quelques fragments dans Littérature et Philosophie mêlées), il comprit que sa vocation était toute littéraire, abandonna les mathématiques, et lança en 1822 les Odes. Il obtint une pension de 2 000 francs de Louis XVIII, peut-être pour son livre, peut-être pour un trait de générosité dont le Roi fut touché ; il se maria (1822), et ne songea plus qu'à marcher sur les traces de Lamartine, qui était l'idole du jour.

    Journaux (Le Conservateur littéraire), romans (Bug-Jargal, Han d'Islande), théâtre (Amy Robsart avec Ancelot, à l'Odéon, chute), vers (Ballades et nouveaux recueils d'Odes) l'occupent jusqu'en 1827. A cette date, il donne Cromwell, grand drame en vers (non joué), avec une préface qui est un manifeste. En 1828 il écrit Marion de Lorme, drame en vers, qui est interdit par la censure, en 1829 les Orientales, en 1830 Hernani, joué à la Comédie française, acclamé par la jeunesse littéraire du temps, peu goûté du public.

    La Révolution de 1830 donne la liberté à Marion de Lorme, qui est jouée à la Porte Saint-Martin avec un assez grand succès.

    Dès lors Victor Hugo se multiplie en créations. Les recueils de vers et les drames se succèdent rapidement. En librairie, c'est Notre-Dame de Paris, roman (1831), Littérature et philosophie mêlées (1834), Feuilles d'automne, poésies (1831), Chants du crépuscule, poésies (1835), Voix intérieures, poésies (1837), Rayons et Ombres, poésies (1840), Le Rhin, impressions de voyage (1842). – Au théâtre, c'est Le Roi s'amuse, en vers (1839), représenté une fois, puis interdit sous prétexte d'allusion politique, Lucrèce Borgia, en prose (1833), Marie Tudor, en prose (1833), Angelo, en prose (1835), Ruy Blas, en vers (1838), les Burgraves, en vers (1843).

    En 1841 il avait été élu de l'Académie française, après un premier échec. En 1845 il fut nommé pair de France. En 1848 il fut élu député de Paris à l'Assemblée Constituante, fonda le journal l'Événement pour préparer sa candidature à la Présidence de la République , et devint un personnage politique. A la Constituante , il siégea parmi la droite et vota ordinairement avec elle.
    Peu soutenu dans sa candidature à la Présidence, mais réélu député de Paris, il siégea à gauche à l'Assemblée législative, se marqua énergiquement comme anti-clérical (Loi sur l'enseignement) et inclina peu à peu vers le groupe socialiste.
    Au 2 décembre 1851 il se mêla au mouvement de résistance, et dut prendre la route de l'exil.


    Il se retira en Belgique, puis à Jersey, puis à Guernesey, refusa de bénéficier des amnisties, et ne rentra en France qu'en 1870. Pendant son séjour à l'étranger, il publia Napoléon le Petit, et écrivit l'Histoire d'un crime, pamphlets politiques en prose, Les Châtiments (1853), satires en vers contre les hommes de l'Empire, Les Contemplations, poésies (1856), la première Légende des Siècles (1859), Les Misérables, roman (1862), William Shakespeare, étude critique (1864), Les Travailleurs de la mer, roman (1866), Les Chansons des rues et des bois, poésies (1865), etc.

    Revenu à Paris sous la troisième république, il vit le siège de 1870 et la guerre civile de 1871, qui lui inspirèrent l'Année terrible, poésies (1872). il donna encore la deuxième Légendes des Siècles, poésies (1877), l'Art d'être Grand-Père, poésies (1877), la troisième Légende des Siècles, poésies (1881), les Quatre vents de l'esprit, poésies (1882).
    Il avait été nommé sénateur par le collège électoral de Paris en 1876. Il parla peu. Il vota constamment avec la gauche. Ses opinions politiques d'alors étaient représentées par le journal Le Rappel, fondé vers la fin de l'Empire par ses parents et alliés.


    Il mourut le 22 mai 1885, « dans la saison des roses », comme il l'avait prédit quinze années auparavant, à l'âge de 83 ans, comme Goethe. Son corps fut déposé au Panthéon, après les funérailles les plus magnifiques que la France ait vues depuis Mirabeau. Il a laissé une grande quantité d'œuvres inédites qui paraîtront successivement. En 1886 on en a donné deux, le Théâtre en Liberté, et la Fin de Satan, qui n'ont rien ôté à sa gloire.


    Les personnages de l’œuvre :
    Le narrateur :
    C’est le héros de cette histoire. Il est condamné à la peine de mort, à cause d’un crime qu’il a commis. Il est d’une éducation raffiné. Il est jeune et sain ; robuste de corps et d’esprit.
    rie :
    Petite fille du narrateur âgée de trois ans. Douce, rose, frêle, elle a de grands yeux noirs et de longs cheveux châtains. Elle ne reconnaît pas son père lorsqu’elle le revoit dans la prison et l’appelle « monsieur »
    es magistrats :
    Ils sont grotesques. Le narrateur les décrit de manières caricaturales.
    Les gardes-chiourmes :
    Des geôliers sans instruction et sans éducation qui rudoient le narrateur et les autres prisonniers.
    es spectateurs :
    curieux, assoiffés de sangs et acharnés contre le condamné
    mère du narrateur :
    Femme de mauvaise santé âgée de soixante-quatre ans
    a femme du narrateur :
    Femme de mauvaise santé et d’esprit libre
    Le prêtre :
    Bon et charitable, c’est un homme qui éprouve pas de compassion pour le narrateur. Il le croit impie. La promiscuité des criminels et le spectacle des exécution l’a rendu placide.
    ’huissier :
    Un homme insensible qui vient annoncer au condamné le rejet de son pourvoi en cassation. Il ne s’intéresse qu’à son tabac et aux nouvelles politiques sans importance. La mort ne l’émeut pas
    e prisonnier de la Conciergerie :
    Un homme de cinquante cinq ans qui a partagé la cellule du narrateur à la Conciergerie , avant d’être transféré à Bicêtre. Il est condamné à la peine capitale qui doit avoir lieu dans six semaines. Il est le fils d’un ancien condamné à mort
    e sous architecte :
    Un jeune homme qui est arrivé dans la cellule du condamné, à la Conciergerie afin de prendre les mesures de la Cellule. Il est insensible et sarcastique.
    e nouveau gendarme de la Conciergerie :
    C’est un gendarme aux yeux de bœuf, au front déprimé qui remplace l’ancien gendarme bon. C’est un joueur invétéré qui demande au condamné de revenir, après sa mort, lui rendre visite en vue de lui indiquer les numéros gagnants au jeu.
    ’espagnole :
    Le premier amour du narrateur. Fille à la peau brune, aux cheveux longs et aux yeux grands. Le narrateur l’appelait affectueusement Pepa.
    e bourreau :
    Grand, vieux, gras, il la face rouge. Il est habillé d’une redingote. Il porte un chapeau à trois cornes. La foule l’appelle Samson.
    --------------------------
    Le schéma narratif :
    ituation initiale :
    L’auteur ellipse de la situation initiale afin de dramatiser l’histoire, et de mettre en exergue la question centrale du texte, à savoir la contestation de la peine de mort capitale. Mais on peut déduire à travers quelques analepsies (retours en arrière) disséminées à travers le récit cette situation initiale) jusqu’au jour du crime qui a bouleversé sa vie
    ément perturbateur :
    Le meurtre commis par le personnage narrateur.
    Péripéties :
    Le jugement, l’emprisonnement, la condamnation à la peine de mort, recherche pas le condamné d’une issue qui préserve sa vie.
    Dénouement :
    Il n’y a pas de dénouement
    Situation finale :
    L’auteur a fait l’ellipse de la situation finale pour inciter le lecteur à réflichir.
    ----------------------
    Le schéma actanciel du récit
    Desateur
    L’instinct de vie
    La crainte de la mort
    Le devoir parental
    Desnataire
    Le narrateur
    Sa fille Marie
    Sa mère, sa femme
    Sujet
    Le narrateur

    bjet : sauver sa vie
    (Se faire gracier, s’évader
    djuvant
    Pas d’adjuvants, excepté l’avocat
    Opposant
    Les magistrats
    Les gendarmes
    La foule
    Le directeur de la prison
    L’aumônier
    L’huissier
    La société
    ÇáÞäÇÕ
    ÇáÞäÇÕ
    ÇáãÄÓÓ + ÕÇÍÈ ÇáãäÊÏì
    ÇáãÄÓÓ + ÕÇÍÈ ÇáãäÊÏì


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    ãõÓÇåãÉ ãä ØÑÝ ÇáÞäÇÕ ÇáÃÍÏ ÝÈÑÇíÑ 08, 2009 11:13 am

    RÉSUMÉ DU ROMAN : LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ
    [b](Chapitre par chapitre)
    [/b]



    CHAPITRE1

    Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l'idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d'une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l'impossibilité de penser à autre chose.



    CHAPITRE2

    De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal.



    CHAPITRE3

    Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive.



    CHAPITRE4

    Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison.



    CHAPITRE5

    Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l'argot pratiqué en prison.



    CHAPITRE6

    Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à écrire. D'abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il s'agit de condamner quelqu'un à mort. C'est sa contribution à lui pour abolir la peine capitale.



    CHAPITRE7

    Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d'autre têtes alors qu'il ne peut sauver la sienne.



    CHAPITRE8

    Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines dont il a déjà passé cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien.



    CHAPITRE9

    Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu'il laisse derrière lui : sa mère, se femme et sa petite fille. C'est pour cette dernière qu'il s'inquiète le plus

    .

    CHAPITRE10

    Le condamné nous décrit son cachot qui n'a même pas de fenêtres. Il décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine capitale.



    CHAPITRE11

    Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins d'in--xx--ions, traces laissées par d'autres prisonniers. L'image de l'échafaud crayonnée sur le mur le perturbe.



    CHAPITRE12

    Le prisonnier reprend sa lecture des in--xx--ions murales. Il découvre les noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule.



    CHAPITRE13

    Le narrateur- personnage se rappelle d'un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un vrai spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des geôliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui.



    CHAPITRE14

    Quand il revient à lui, il se trouve dans l'infirmerie. D'une fenêtre , il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux forcés.



    CHAPITRE15

    Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté dans l'infirmerie mais voilà qu'il est repris par l'idée de la mort qu'il pense à s'évader.



    CHAPITRE16

    Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de liberté à l'infirmerie. Il se souvient de cette jeune fille qu'il a entendu chanter de sa vois pure, veloutée une chanson en argot.



    CHAPITRE17

    Il pense encore à s'évader. Il s'imagine déjà en dehors de la prison dans le port pour s'embarquer vers l'Angleterre mais voilà qu'un gendarme vient demander son passeport : le rêve est brisé



    CHAPITRE18

    Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande à notre condamné ce qu'il désire à manger.



    CHAPITRE19

    Le directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se montre doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivée.



    CHAPITRE20

    Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu'il trouve partout autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers...



    CHAPITRE21

    Le condamné reçoit deux visites. D'abord celle du prêtre et puis celle de l'huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté et que son exécution aura lieu le jour même place de Grève. Il reviendra le chercher dans une heure.



    CHAPITRE22

    Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le prêtre et l'huissier pendant le trajet. Il se montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit heures trente, la carriole est déjà devant la Cour.



    CHAPITRE23

    L'huissier remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il fait une rencontre curieuse avec un le condamné à mort qui séjournera dans la même cellule à Bicêtre. Ce dernier, fils d'un ancien condamné à mort lui raconte son histoire et s'empare de sa redingote .





    CHAPITRE24

    Le narrateur est enragé parce que l'autre condamné lui a pris sa redingote.



    CHAPITRE25

    Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise, une table, ce qu'il faut pour écrire et un lit.



    CHAPITRE26

    Il est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera peut être repoussée, haie à cause de lui.



    CHAPITRE27

    Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l'échafaud.



    CHAPITRE28

    Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève.



    CHAPITRE29

    Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galères seraient meilleure solution en attendant qu'un jour la grâce arrive.



    CHAPITRE30

    Le prêtre revient voir le condamné. Celui-ci est loin d'apprécier sa présence. Ce prêtre parle machinalement et semble peu touché par la souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit délicate et bien garnie, il ne peut manger.



    CHAPITRE31

    Le narrateur est surpris de voir un monsieur prendre les mesures de la cellule. Ironie du sort : la prison va être rénovée dans six mois.



    CHAPITRE32

    Un autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il demande au prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui révéler les trois bon numéros gagnants à la loterie . Le condamné veut profiter de cette demande bizarre : il lui propose de changer ses vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut s'évader.



    CHAPITRE33

    Pour oublier son présent, le narrateur passe en revue ses souvenirs d'enfance et de jeunesse.Il s'arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il était amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d'été.



    CHAPITRE34

    Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime. Entre son passé et son présent, il y a une rivière de sang : le sang de l'autre ( sa victime) et le sien( le coupable)



    CHAPITRE35

    Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à mener leur vie le plus normalement au monde.



    CHAPITRE36

    Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche (le bourdon) de Notre-Dame (cathédrale à Paris)



    CHAPITRE37

    Le narrateur décrit brièvement l'hôtel de ville.



    CHAPITRE38

    Il est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il a mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq à vivre.



    CHAPITRE39

    On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque aucun condamné déjà exécuté ne peut l'affirmer.



    CHAPITRE40

    Le jeune détenu pense au roi. C'est de lui que viendrait la grâce tant attendue. Sa vie dépend d'une signature. Il espère toujours.



    CHAPITRE41

    Le condamné se met dans la tête l'idée qu'il va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à baiser



    CHAPITRE42

    Il se laisse dormir un moment. C'est son dernier sommeil. Il fait un cauchemar et se réveille frémissant, baigné d'une sueur froide.



    CHAPITRE43

    La petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué devant la fraîche et la belle petite fille qui ne le reconnaît pas. Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout espoir.



    CHAPITRE44

    Le détenu a une heure devant lui pour s'habituer à la mort. La visite de sa fille l'a poussé dans le désespoir.



    CHAPITRE45

    Il pense au peuple qui viendra assister au « spectacle » de son exécution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a des têtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination.



    CHAPITRE46

    La petite Marie vient de partir. Le père se demande s'il a le temps de lui écrire quelques pages. Il cherche à se justifiez devant les yeux de sa fille.



    CHAPITRE47

    Ce chapitre comporte une note de l'éditeur ; les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont perdus ou peut être que le condamné n'a pas eu le temps de les écrire



    CHAPITRE48

    Le condamné est dans une chambre de l'hôtel de ville. A trois heures, on vient l'avertir qu'il était temps. Le bourreau et ses deux valets, lui coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui attendent l'exécution.



    CHAPITRE49

    Le condamné demande sa grâce à cette personne qu'il croyait juge, commissaire ou magistrat. Il demande, par pitié, qu'on lui donne cinq minutes pour attendre la grâce. Mais le juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore mais voilà qu'on vient le chercher...

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